Je me suis exprimée sur les conséquences du PLU bioclimatique concernant l’immobilier parisien et, plus largement, sur ses impacts économiques, tant au niveau local que national. Les contraintes urbanistiques qui pèsent sur le secteur tertiaire affectent non seulement l’activité économique, mais aussi l’épargne des ménages et des entreprises.

Sans compter que ces mesures seront contre-productives également sur le plan environnemental, en freinant les rénovations thermiques pourtant si nécessaires

Alors que la crise de l’immobilier persiste et que l’instabilité politique de notre pays exacerbe l’incertitude économique, la ville de Paris a intégré dans son plan d’urbanisme des contraintes qui semblent déconnectées des réalités conjoncturelles, techniques et environnementales. Ces choix risquent de renforcer l’attentisme et d’accentuer les fragilités du tissu économique, en mettant sous pression un secteur déjà éprouvé.

 

« Le pastillage entraîne une réelle dépréciation des biens et c’est très compliqué techniquement et financièrement de rajouter du logement dans des immeubles tertiaires » reproche Valérie Montandon (LR/Changer Paris) – La dépêche

« La préemption de logement ne fabrique pas de https://www.ladepeche.fr/2024/12/22/reequilibrer-bureaux-et-logements-la-delicate-ambition-parisienne-12408359.phpnouveaux logements, mais crée au contraire des tensions sur le marché privé » pointe Valérie Montandon – La Tribune

« La promesse des 300 hectares d’espaces verts supplémentaires se réduit finalement au recyclage d’espaces existants. Même les cimetières sont mis à contribution pour tenter de « ressusciter » cette mesure irréalisable », épingle Valérie Montandon, conseillère Changer Paris du XIIe arrondissement de Paris –  ActuEnvironnement.com